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Béatrice Cofield

Une fusion des arts visuels et de la musique. WWW .Jma-yma.com

J’aime peindre en public,, à l’écoute de la musique, et parfois  chanter des textes contemporains ;  le chant me permet de visualiser  plus profondément , en trois dimensions. Dans ce pârtage, la spontanéité et le geste portés par la musique  retracent d’autres rivages de conscience.

Pour moi, toutes  peintures ou sculptures sont, par essence, architectures du cœur,  rythmes, poésies,  musiques visuelles ; toute perception, toutes pensées et créations  naissent au  rythme de notre respiration , à l’écoute de nos émotions, nos souvenirs, en  contact étroit avec la nature.  l’art nous guide  sur des chemins intérieurs de solitude, de méditation, de contemplation qui nous éloignent pour mieux nous rapprocher de l’essentiel,  pour nous ouvrir à nous-mêmes et à l’autre.

 .Je fus  particulièrement  inspirée par  Leonard de Vinci,  Boticelli,El Greco, Turner,Gaspard Friedich,Brancusi et Barbara Hepwoth, Corot, Klimt,Toulouse Lautrec, Gauguin ,les nabis.Chagall, Paul Klee, Kandinski, les surréalistes tels Redon, Magritte, Eischer…

 

J’ai  toujours perçu la nature comme une force mystérieuse, matrice de vie,   source et réponse  à tous les mystères ,   lieu sacré entre  le  réel et l’imaginaire.

.Je suis née en France  au cœur du Berry, dans la ferme de mes grands-parents ,d’une  famille d’origine polonaise, déchirée , par  ses combats de liberté  , dans deux guerres mondiales, tant en  Pologne, qu’en France , et dans la résistance française.

J’ai  découvert la musique et la peinture en jouant seule dans les collines et prairies verdoyantes du Bocage où  je visualisais de grandes fresques,,des peintures et des danses que je ne commençai à comprendre qu’en tant  qu’adulte. Je transcrivais sur un écran intérieur , des images surréalistes  qui n’étaient autres que le  code visuel du complexe  tissu des  souffrances , des émotions ressenties par les adultes autour de moi. Un code dont je découvre la précision  aujourd’hui encore, toujours plus profondément. C’était comme si  j’avais  perçu des peintures  et des musiques de maîtres  avant de les rencontrer plus tard. Tout semblait porté par un souffle mystérieux, l’écoulement du temps,  de nos émotions, des saisons.

 

Je travaillai  à Paris en tant que rédactrice judiciaire , en entreprenant  mes études de droit  social ,   je  perpétuai ,sans doute ,  cette quête d’une enfant qui n’avait pas compris la guerre,   qui rêvait encore  de justice   , de racines.  Après mon mariage à un ressortissant britannique, Je  vécus ensuite en Yorkshire pendant dix ans  où j’eus l’impression de retrouver ma prairie originelle, Après avoir complété une première exposition à la Mandragore internationale à Paris, des expositions à l’Académie Internationale de Lutèce ,Je travaillai en tant qu’artiste en Résidence   et coordinatrice d’art à  l’université Américaine d’Europe de Bushey   ( en  Hertforshire au Royaume-Uni, puis dans une école privée).

En  tant qu’ éducatrice, je cherchai à partager mon expérience d’artiste avec les plus jeunes. Je fondai Jeunes Maîtres des arts  , promouvant ma recherche artistique et éducationnelle  sur une fusion des arts visuels et de la musique  et la promotion de  l’art des enfants comme une valeur réelle .j’organisai de nombreuses expositions d’art pour les enfants  et le  public  fut très ému par leur immense pouvoir d’expression   .  Ainsi, je  défendis ceci   à la Galerie Nationale en 1996 pour  travailler ensuite avec le Trust des arts et de Dyslexie( Fondatrice et présidente de jma-yma.com- diverses récompenses internationales  et expositions : médaille s de bronze, argent , vermeille et   de l’Académie Internationle de Lutèce à Paris- Diplôme d’honneur du Musée d’art Contemporain de  Guadeloupe – Félicitations de la Reine Mère Elisabeth II, Madame Chirac et Ifrah Neaman pour le partage de la créativité,  l’organidation de concerts et expostions dans les hôpitaux-Certificat de mérite de la Duffields Awards Foundation= by Sir Serrota. Deleguée dEngage -Association  d’Education en Galerie  du Royaume-Uni  en 2014 et 2016 pour la défense de l’insertion des artistes dans les projets communautaires et internationaux, la mse en place de mécanismes démocratiques et de financements pour toutes «  cocréations », interactions  entre les arts, artistes , professionnels et amateurs et générations)- Biennales d’art Contemporain de Londres  ( Mention d’honneur pour mérite artistique en 2013 pour son interprétation de la mer de Debussy- 2015  et 2017- Biennale d’art Contemporain du Musée de Chanciano en Italie en 2015- Expositions à la Galerie Rosso à Piacenza-exposition d’art Contemporain à Lyon_ exposition permanente à  Rome en 201 6  la Galerie Rosso Cinabro à Rome,- préparant diverses expositions solo à Rome et à Paris et projets d’expositions et d’écriture, promouvant l’art comme un dialogue, un partage solidaire de créativité, la  co création d’un monde meilleur) y compris la biennale 2018 du Musée de Chianciano.

. A l’écoute des images, je redécouvre les rythmes de la nature,ses danses,l’architecture de musiques classiques ou contemporaines    ( Beethoven,Bach, Haendel,Debussy, Ravel, Rachmaninov ,Schumann, Chopin e t tant d’autres). Les variations sont infinies mais s’unissent  dans cette vision d’Einstein où l’art et la science nous livrent nos racines à la fois terrestres et cosmiques. C’est pourquoi de l’abstraction pure  du langage d’émotion , de l’’écriture de l’invisible que livre  la  musique ,progressivement, je visualise  des paysages intérieurs surréalistes et symboliques, où des femmes fleurs incarnent les saisons, les danses de Boticelli ou de Vivaldi ,de s femmes en quête de sens, d’amour, s’efforçant de protéger la vie  dans un monde déchiré et violent.

J’utilise  des  couleurs  , intenses, pures   aérées par le blancs de la toile ou du papier  pour exprimer  la  mystérieuse puissance et légèreté  des sons  .

Je joue avec  des racines entre ciel et terre ; j’oppose et réunis des univers différents,  par une dichotomie dominante de bleu s et de rouges, de textures opaques, des transparences, de cadres qui s’ouvrent sur d’autres   cadres,  tel un jeu , un perpétuel aller retour  de différences,  du  visible et de l’invisible

Béatrice Cofield@all rightsreserved.

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